Avec la chute de Baghouz en mars 2019, l’EI perd ses dernières possessions territoriales. Dès cette époque, les analystes alertent sur deux risques : d’une part celui d’une nouvelle « résurgence » de l’organisation dans ces mêmes zones, et d’autre part, une « translation » vers de nouvelles zones géographiques dévastées par la guerre, la corruption où elle pourrait profiter d’une faiblesse des États pour recréer une emprise territoriale.
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